mercredi, décembre 23, 2015
lundi, décembre 21, 2015
dimanche, décembre 20, 2015
samedi, décembre 19, 2015
vendredi, décembre 18, 2015
jeudi, décembre 17, 2015
Trois souvenirs de ma jeunesse d'Arnaud Despleschin
En 1992, la découverte d'Arnaud Desplechin m'avait bouleversé. Son film la sentinelle était une véritable bulle d'émotion. Par la suite j'avais découvert le précédent, la vie des morts sidéré par sa direction d'acteurs et sa mise en scène troublante.
Sur l'Avenue, nous avions ensuite adoré Rois et Reines (sa Bande Originale somptueuse aussi) et l'excellent Conte de Noël. Nous n'avons pas vu Comment je me suis disputé ... (ma vie sexuelle), mais qu'à cela ne tienne, on allait ici entamer le visionnage de cette préquelle, Trois souvenirs de ma jeunesse, afin de voir comment ce cinéaste de talent évoluait.
Disons-le tout de suite, c'est un pur produit Télérama. Ce n'est ni bien ni mal, mais très calibré et souvent ennuyeux. Une sorte de cinéma très français et très tiède. Loin, bien loin des fulgurances des films que nous avions tant aimés pour leur nouveauté et leurs surprises.
Malgré tout, il faut reconnaître un casting très judicieux. Quentin Dolmaire est exceptionnel et du coup, on a très envie de découvrir sa filmographie. Les acteurs sont tous très justes, premiers comme second rôles et ils permettent de ne pas s'assoupir face à une trame bien mince quant à l'histoire du film.
Paul Dédalus, oui bon, le labyrinthe et tout, au bout d'un moment ça fatigue sacrément et ça aurait besoin d'un coup de jeune! C'est ce qui est très étrange, on a l'impression de découvrir une jeunesse totalement perçue par de vieux yeux, myopes et oublieux des étincelles profondes qui éclairent et stigmatisent la fin de l'adolescence et le début de l'âge adulte. Le contraste aurait pu être détonnant mais il n'est le plus souvent propice qu'à d'interminables et répétitives ritournelles.
Vivement le prochain car le talent est là, immense, même s'il est ici étouffé sous des atours pompeux et pédants. Gageons que ce réalisateur de génie saura aller vers plus de simplicité et d'émotion à l'avenir plutôt que vers des critiques élogieuses, c'est si dommage et il a tellement mieux à nous offrir.
Trois souvenirs de ma jeunesse - Réalisation : Arnaud Despleschin - Editeur : Blaq out - Date de sortie du DVD : 13 octobre 2015
Blaq out : son site et sa page Facebook.
Merci à Cinetrafic de nous avoir permis de découvrir ce film, grâce à l'opération dvdtrafic : "un dvd contre une critique".
Les sorties ciné de la semaine
Les prochaines sorties ciné de 2016
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mercredi, décembre 16, 2015
mardi, décembre 15, 2015
lundi, décembre 14, 2015
jeudi, décembre 10, 2015
Maxence Cyrin - Novö Piano 2
![]() |
http://evidenceclassics.com/artists/maxence-cyrin |
Du même artiste à découvrir sur le blog :
Nocturnes
The fantasist
Novö Piano
dimanche, décembre 06, 2015
samedi, décembre 05, 2015
vendredi, décembre 04, 2015
Plus haut que la mer - Francesca Melandri
1979. Italie. Sur une île, une prison. Un soir, à cause d'un accident de voiture, deux visiteurs (un homme et une femme) ne pourront pas quitter l'île. Les voilà réunis, contraints de partager leur repas et un toit avec le gardien de prison.
Une couverture de roman qui nous permet de rentrer directement dans l'histoire. Un huis-clos où quelque chose va se jouer dans le destin de ces personnes. Des liens se tissent, une complicité naît, mais aussi beaucoup de non-dits.
J'ai été transporté par ce roman de l'intime et délicat avec des personnages magnifiques plongés dans un décor à la fois grandiose et angoissant. Un roman émouvant et très humain.
Et puis et surtout cette magnifique écriture. Comme le souligne le blog de Krol : C'est bon, c'est bon, c'est du très bon.
Une très belle découverte.
Plus haut que la mer - Francesco Melandri - Traduit de l'italien par Danièle Valin - Gallimard - 2015
mardi, décembre 01, 2015
Assurance sur la mort de Billy Wilder
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Menu de l'édition blu-ray |
Il y a trois ans à quelques jours près (c'était ici), nous revoyions ce film de Billy Wilder que nous aimons tant...Mais hier, c'était dans sa version blu-ray, restaurée. Une belle restauration pour un film qui date de 1944.
Les bonus sont nombreux et devraient ravir les cinéphiles (pas encore vus à ce jour) :
- Commentaire audio de Den Lobbs (scénariste) et Nick Redman (historien du cinéma)
- Les ombres du suspense (37 min)
- La dernière cigarette (34 min)
Ils ont testé le blu-ray pour vous.
![]() |
Fred Mac Murray et Barbara Stanwyck |
dimanche, novembre 29, 2015
L'essentiel de François de Roubaix
Un nouveau cd de la superbe collection Ecoutez le cinéma bientôt sur l'Avenue...
A l'occasion du 40ème anniversaire de la disparition de François de Roubaix : L'Essentiel de François de Roubaix
Pionnier du home studio, poète de l'électronique, sans cesse samplé et remixé par les nouvelles générations, François de Roubaix a marqué de son empreinte une décennie prodigieuse (1965-1975), avec plusieurs bandes (très) originales, associées à des comédiens comme Delon, Ventura ou Belmondo : Les Grandes gueules, Les Aventuriers, Le Samouraï, Dernier domicile connu, La Scoumoune…
Sa griffe mélodique et harmonique unique, il la met au service des films de Robert Enrico et José Giovanni, qui exaltent la camaraderie virile, l’âpreté des sentiments, les grands espaces.
Après lui avoir consacré plusieurs éditions intégrales, la collection Ecoutez le cinéma ! est fière de lui consacrer une anthologie miraculeuse, à l'occasion de ce quarantième anniversaire : une sorte de synthèse ultime, qui réunit la quintessence de François de Roubaix, avec ses standards (de Chapi Chapo au Vieux fusil), des inédits (Far from Dallas), une relecture inspirée (Les Secrets de la mer rouge) par le propre fils du compositeur, Benjamin de Roubaix.(source)
Autres articles sur François de Roubaix :
Fred Pallem & le Sacre du Tympan présentent François de Roubaix
François de Roubaix : un portrait au présent
François de Roubaix et son monde électronique
Autres articles sur la collection Ecoutez le cinéma :
mardi, novembre 24, 2015
Trop de plomb d'Enrico Pandiani
Thérèse Garcia ne sera jamais la journaliste vedette du prestigieux quotidien Paris 24 h. Son meurtrier l’a rouée de coups avant de l’achever à coups de pieds. Un déferlement de violence et de haine rarement observé par le commissaire Mordanti. Et elle n’est que la première victime…(présentation de l'éditeur).
Deuxième enquête pour la brigade des "italiens" dans le milieu du journalisme où le mot vengeance s'écrit avec un grand V.
Toute comme le premier roman de cet auteur (Les italiens), si le ton du récit se veut léger et drôle, l'intrigue, elle, ne l'est pas. On rit donc pas mal, mais on grince aussi des dents (bon ok gentiment mais tout de même).
Un roman que j'ai avalé rapidement. Une bonne récréation dont j'avais besoin en ce moment !
Les italiens - Enrico Panidani - Collection Entailles - Editions Télémaque - 2015 - traduit de l'italien par Catherine Beaunier.
lundi, novembre 23, 2015
dimanche, novembre 22, 2015
Wyrmwood : Road of the Dead
Le programme était alléchant. En effet : Mad Max rencontre l'armée des morts, ça nous donnait envie sur l'Avenue!!!
Et bien nous avions raison. On nous propose ici un grand divertissement au coeur de l'Australie. Un aborigène perdu dans le bush a dû tuer son frère car, tandis que les étoiles filantes atteignaient l'océan indien et qu'il les observaient dubitatif, ses proches s'étaient déjà transformés en zombies.
Tous les individus "sauvés" étaient en fait du groupe sanguin A négatif. Les autres avaient été modifiés et tuaient à l'aveugle. C'est donc eux qu'il fallait tuer pour survivre.
Basique mais très efficace avec des images souvent hyper réalistes, un rythme effréné et une quantité d'hémoglobine délirante.
Deux idées y sont particulièrement intéressantes. La première, la soeur du héros, sur laquelle ont été pratiquées des expériences, sait communiquer et diriger les zombies par la pensée. Entre la vie et la mort, elle offre un personnage fort et peu commun. La suivante, les morts vivants soufflent un gaz qui peut servir de carburant et ainsi remplacer tous les autres qui ne fonctionnent plus. Plutôt malin et imprévu.
Dans l'ensemble une très bonne surprise donc, ce qui doit être partagé par de nombreux spectateurs car une suite serait déjà prévue...
Merci à Cinetrafic de nous avoir permis de découvrir ce film, grâce à l'opération dvdtrafic : "un dvd contre une critique".
Wyrmwood : Road of the Dead - Réalisation : Kiah Roach-Turner - 2015
mardi, novembre 17, 2015
lundi, novembre 16, 2015
Mornings At The Buddies Lounge – Monday 11/16/15
Thank you from the bottom of my heart for your Paris show this Monday Morning.
For naming me and supporting us all here in France.
Your vision is unique and so appreciated, you can't imagine how much it helps rebuild our lives after the tragedy.
Take care and let's cherish our brotherhood.
All the best from your number one fan.
Fabien
Page Facebook
samedi, novembre 14, 2015
jeudi, novembre 12, 2015
Jack Holmes et son ami d'Edmund White
Dans la série, je recycle un ancien billet, voici Jack Holmes et son ami que j'avais lu fin 2013. Le roman vient de sortir en poche chez 10/18.
Une
fresque qui s'étale du début des années 60 jusqu'à la fin des années 90
où l'on suit une grande amitié entre deux new-yorkais. Deux personnages
centraux, Jack Holmes qui aurait bien voulu être l'amant de Will
Whright. Mais malheureusement pour lui, Will préfère les femmes. C'est
d'ailleurs Jack qui lui présentera sa future femme.
Will
sera l'amour impossible de Jack. Jack sera le seul véritable ami de
Will. Ils se perdront de vue pour mieux se retrouver à l'aube de chaque
décennie.
Même
si j'ai eu de la peine à quitter le personnage de Jack à la fin de la
première partie du roman, force est de reconnaître qu'il était
intéressant pour la construction de l'histoire de changer de regard.
Avec un point de vue différent, celui de Will que l'on retrouve dix ans
plus tard (les deux hommes ont alors la trentaine).
Un roman habile où Edmunt White donne à voir la différence de perception du sentiment amoureux et de la sexualité entres homos et hétéros. Il ne s'interdit rien et étudiera sans détour la question du désir et du plaisir sexuel, notamment celui des femmes. Ce qui pourra peut-être étonner les lecteurs de l'écrivain qui à ma connaissance s'est focalisé principalement sur la vie homosexuelle dans ses précédents romans.
Un ôde à l'amitié avec un grand "A" entre homo et hétéro. Première fois que je lis une histoire sur ce thème. Ça fait du bien !
L'écrivain n'évite pas certains clichés côté scènes chaudes mais se rattrape par son analyse psychologique assez pertinente. Un regard aiguisé sur l'être humain, son rapport au corps, sa sexualité et ses tabous. Enfin, j'ai bien aimé son écriture intelligente, crue et tendre à la fois.
L'écrivain n'évite pas certains clichés côté scènes chaudes mais se rattrape par son analyse psychologique assez pertinente. Un regard aiguisé sur l'être humain, son rapport au corps, sa sexualité et ses tabous. Enfin, j'ai bien aimé son écriture intelligente, crue et tendre à la fois.
Jack Holmes et son ami d'Edmund White - 10/18 - sortie le 04 novembre 2015
mercredi, novembre 11, 2015
Les italiens de Enrico Pandiani
Alors que paraît Trop de plomb de Enrico Pandiani, je ne résiste pas à ressortir un ancien billet du blog, celui de son premier roman Les italiens paru en France en 2014 et qui vient de sortir en poche.
L'histoire se passe à Paris, quai des Orfèvres où un sniper bute la moitié d'une brigade de flics, dont la majorités sont italiens. Le chef de l'équipe (français lui) manque de très peu de se prendre une cartouche. Les flics tentent de rattraper le tueur mais en vain. Fin de journée éprouvante pour tout le monde. Et notre chef d'équipe se voit confier, alors qu'il ne rêve que d'un bon bain chaud, une mission pourrie : accompagner une jeune femme pour inspecter son atelier de peinture qui vient d'être saccagé et dont personne a eu le temps de s'occuper plus tôt dans la journée.
Le lecteur est directement mis dans l'action. Ça déménage. On ne souffle pas une seconde...et on tourne les pages sans s'en rendre compte. Je me suis laissé surprendre agréablement. Le ton est léger malgré tout, un humour qui fonctionne plutôt bien.
Et puis au cours du roman, je relis la quatrième de couverture Des personnages étonnants, une histoire d'amour très inédite. C'est tout à fait ça, on ne s'y attend pas. Je préfère ne pas en dire plus pour ne pas vous gâcher la surprise si vous êtes amener à lire le bouquin.
Alors oui, certaines ficelles sont grosses, mais l'intrigue fonctionne bien. Je me suis laissé avoir, et c'est tant mieux. J'ai passé un très bon moment de lecture.
Les italiens - Enrico Pandiani - Le livre de poche - sortie le 02 novembre 2015.
samedi, novembre 07, 2015
Père et fils de Larry Brown
Larry Brown figurait il y a encore quelques années dans le catalogue de Gallimard. Oliver Gallmeister a eu la riche idée de republier ce roman avec une nouvelle traduction dans sa colleciton de poche Totem.
Glen aurait sûrement mieux fait de rester derrières les barreaux. A peine sorti qu'il a à son actif deux meurtres en quarante-huit heures. Sans compter la haine qu'il a envers la terre entière, tout particulièrement son père et sa petite copine avec qui il a eu un fils mais dont il refuse de voir et d'assumer la paternité.
Glen est un personnage détestable, pour qui on n'a aucune empathie. Sa rancoeur et la peur qu'il inspire font de lui un être incontrôlable.
Des personnages à la psychologie fouillée. Des secrets de famille trop lourds à porter qui resurgissent tels de la boue sous la chaleur du sud des Etats-Unis.
Sous une ambiance sombre et suffocante, Larry Brown nous offre une magnifique oeuvre noire, écrite dans un style simple et d'une grande force évocatrice.
Un roman au rythme lent mais sous une tension constante. Malgré sa rudesse et sa violence, Père et fils est avant tout un roman très humain que j'ai eu plaisir à lire.
Père et fils - Larry Brown - Editions Gallmeister - 2015 - traduit de l'américain par Pierre Ferragut.
vendredi, novembre 06, 2015
Etienne Daho - Paris sens interdits - La ville
A l'occasion de la sortie de L'homme qui marche, le nouveau best-of de l'artiste, deux 45 tours vinyle font leur apparition pour les fans et amateurs de ce support physique. Paris sens interdits est le premier titre inédit de cette double compilation. Un titre qui date de 1989 composé par Arthur Baker. La ville est le deuxième inédit, un duo avec Daniel Darc qui a été composé en 1988. Sur la face b, on retrouve la chanson interprétée par Daniel Darc seul.
Sur son facebook, Etienne Daho nous explique d'où vient ce titre :
Cette version ne fut pas publiée à l'époque. Quelques semaines avant son départ, j'ai revu Daniel, rue Lafayette, et nous avons évoqué la possibilité de ressortir un jour cette version dont je n'avais conservé qu'une cassette inutilisable. Comme je gardais toujours des copies de mes productions, je me suis mis à la recherche de cette version perdue mais sans succès. C'est en allant à Rennes, chez ma mère que j'ai retrouvé une cassette DAT au fond d'un carton, avec l'instrumentale et nos deux voix séparées. Nous l'avons restaurée.
Sur son facebook, Etienne Daho nous explique d'où vient ce titre :
Cette version ne fut pas publiée à l'époque. Quelques semaines avant son départ, j'ai revu Daniel, rue Lafayette, et nous avons évoqué la possibilité de ressortir un jour cette version dont je n'avais conservé qu'une cassette inutilisable. Comme je gardais toujours des copies de mes productions, je me suis mis à la recherche de cette version perdue mais sans succès. C'est en allant à Rennes, chez ma mère que j'ai retrouvé une cassette DAT au fond d'un carton, avec l'instrumentale et nos deux voix séparées. Nous l'avons restaurée.
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45 tours vinyle La ville |
jeudi, novembre 05, 2015
samedi, octobre 31, 2015
Retour vers le futur au Grand Rex 30ème anniversaire 1985-2015
Dimanche dernier, le Grand Rex fêtait le 30ème anniversaire de la trilogie Retour vers le futur de Robert Zemeckis pour une dernière séance. 7h de programme avec la diffusion des films bien sûr mais aussi de nombreuses surprises pour ce retour dans le temps.
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Affiche officielle Retour vers le Grand Rex |
Première surprise : une Delorean était à l'entrée du Grand Rex ! Le Doc, l'inventeur de cette machine à remonter dans le temps (dans le film) était là pour nous la présenter. Une deuxième voiture attendait le public à l'intérieur même du Grand Rex.
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Programme officiel de la soirée |
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La sompteuse salle de cinéma du Grang Rex |
Une fois installés, les quatre fans que nous sommes, chacun avec son bracelet violet (dont certains gagnants pour un goodies) en mode surexités ! Il est bientôt 15h, ça va commencer.
Avant le premier film, un orchestre de plus de 70 musiciens interprète un extrait de la bande originale du film La suite symphonique, histoire de nous mettre dans l'ambiance ! Frissons et émotions garantis...
Durant la projection des films, plusieurs effets spéciaux ont ébloui les spectateurs ! Notamment lors le la reconstitution de l'arrivée de la Delorean sur l'asphalte avec sa trainée de feu due aux traces d'attérissage.
Ils étaient attendus : les doubleurs français des acteurs américains nous ont bien fait rire. Luc Hamet (doubleur de Michael J. Fox, Marty McFly dans le film) a présidé la soirée avec beaucoup d'émotions.
Durant les pauses entre les films, nous avons profité de l'exposition où étaient présentés les costumes de la trilogie, les fameuses baskets du futur avec lacets rétractables et l'hoverboard du futur mais aussi les habits de Marty McFly (merci Thibaut pour ces photos!).
22h15 : fin du troisième volet. Les 7h sont passées beaucoup trop vite !
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