Film noir - Cycle Robert Wise
Après Robert Siodmak et Otto Preminger, poursuivons notre exploration des films noirs avec une sélection de 5 films de Robert Wise, le réalisateur de West Side Story.
Robert Wise - Fiche IMDB
Robert Wise - Fiche IMDB
Né pour tuer (Born to kill) Robert Wise 1947
Nous avons gagné ce soir (The set-up) 1949 *
Nous avons gagné ce soir (The set-up) 1949 *
Je veux vivre (I want to live) 1958
La maison sur la colline (The house on Telegraph Hill) 1951
Le coup de l'escalier (Odds agains tomorow) 1959 *
La maison sur la colline (The house on Telegraph Hill) 1951
Le coup de l'escalier (Odds agains tomorow) 1959 *
* Top Film noir de l'Avenue
Helen Brent quitte l'hôtel dans lequel elle séjournait peu après que les lieux aient été le théâtre d'un mystérieux double homicide. Dans son train la ramenant vers sa famille et son mari, elle fait la connaissance d'un inconnu étrange et agressif. Pourtant, la jeune femme tombe sous son charme et décide de le revoir. Celui-ci finit même par rencontrer sa famille. L'homme parvient à séduire la demi-soeur d'Helen...
La critique de DVDClassik
Bill Thompson, un boxeur sur le déclin, doit se coucher lors d'un combat. Mais dans un sursaut d'orgueil, il fait volte-face et met son adversaire au tapis. Il doit maintenant faire face aux conséquences.
La critique de DVDClassik
Accusée d'un meutre qu'elle n'a pas commis, Barbara Graham est condamnée à mort. Seul contre tous, le journaliste Ed Montgomery défend Barbara. Mais l'issue de son combat est tragique.
Prenant à sa demande l'identité de sa meilleure amie décédée, Victoria Kowelska assure l'éducation de son enfant. Très vite, elle soupçonne son compagnon de vouloir la suprimer. Celui-ci boit le poison qu'il lui destinait. Accusée de meurtre, Victoria doit prouver son innocence.
(film ajouté le 19 février 2017)
Dave Burke, ancien policier, prépare un casse de banque. En s'associant avec Ingram et Slater, tout semble marcher comme sur des roulettes, mis à part un détail : Slater est raciste, Ingram est noir...
Le plus assourdissant dans ce film qu'admirait Jean-Pierre Melville, ce ne sont pas les coups de feu mais les frappes violentes d'un musicien sur un xylophone, les hurlements de joie et d'horreur de gamins perchés sur un manège, la musique du pianiste Jaohn Lewis. (Libération)
La critique de DVDclassik
Le film noir sur l'Avenue...
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